Rocade au Gouvernement genevois

Groupement bénévole sans frontière.
Commission du dossier no 29.
Travaille sans fake news.
La rocade effectuée au Gouvernement genevois, devrait nous rassurer et pourtant nous ne le sommes pas tout à fait.
Monsieur Poggia MCG, succède à Pierre Maudet au Département de la santé et de la sécurité, qui englobe la surveillance de la justice, ne voyant pas d'autre Dicastère dans ce Gouvernement, pour remplir cette tâche, indispensable à une saine Démocratie. Ce qui veut dire que c'est à Monsieur Poggia, que nous justiciables, qui nous plaignons des juges qui heurtent aux portes des fonctionnaires, (et que nous retrouvons actifs dans le même dossier à la Cour supérieure de la magistrature) qui ne savent plus qu'ils sont mariés et organisent, (bien que connaissant le discernement aboli de l'homme de 75 ans,) pour un motif égoïste, (de facto supprimer le 2ème pilier à l'épouse) poursuivi d'office par l'article 115 CP. une procédure unilatérale en divorce, dont l'épouse sera exclue dès le début et ne pourra se défendre, la coalition juges-avocats étant bien établie.
Monsieur Poggia, avant d'entrer au Gouvernement genevois, a été consulté pour la défense de l'épouse, il fait partie des vingt-cinq avocats, qui ont décliné le mandat de notre bénévole.
Quant à Madame Fontanet PLR, qui est en charge de l'économie; au moment des faits, était une collaboratrice de l'Etude Canonica, que mandate la Cour de justice, mais qui fera croire que le mandant en est le mari, ce qui est faux. Ces faits n'ayants jamais été démentis par une instance, pas d'avantage que les effets collatéraux délétères à l'encontre de l'épouse, (mises sur écoutes téléphoniques avec parfois contacts avec l'interlocuteur qui le lui a dit, perquisition de son appartement et demande à la Gérance Grange & Cie de résiliation de son bail commercial) alors qu'elle demandait juste ce que prévoit la loi:un procès équitable et le respect de l'article 6 de la Convention des Droits de l'Homme et des libertés...
Combien de divorces contraints à l'encontre des fonctionnaires genevois pour un motif égoïste, ces chargés de Dicastères vont-ils diligenter sans y avoir été invités par l'un ou l'autre des époux? parce que le dossier qui nous intéresse a révélé (voir pièce no 1)que le juge,juge selon sa sensibilité politique et si il veut une suite de sa carrière, il doit faire plaisir au parti qui le nourrit.
Nous demandons au Gouvernement genevois de restaurer un Dicastère de la justice clair. Si l'on peut peut-être comprendre, que sous l'appellation sécurité, se niche la justice pénale, il n'en va pas de même de la justice civile, qui doit impérativement avoir son Département. Nous disons à ce Gouvernement (il n'y a pas de prescription à un dossier qui n'a jamais été géré par le Droit et les lois) que nous sommes toujours en quête, d'une réhabilitation de l'état civil de l'épouse et des prestations prévues à une veuve, selon l'information en notre possession et selon la plainte pénale justifiée déposée au Ministère public,il dira que c'est du civil, ce qui est évidemment encore une fois faux. Nous adressons nos meilleurs voeux à votre Gouvernement, qui au vu des prémices impulsées par M.Poggia, va rétablir l'ordre et le Droit, selon l'article 6 de la Convention des Droits de l'Homme et des libertés fondamentales.
Avec nos meilleures et respectueuses salutations.

Au nom de la commission du dossier no 29. C. Leclanché et Y.Cerdan.

Commentaires